Dévoilement du 13e lauréat du Grand Prix littéraire Archambault : David Clerson remporte la bourse de 20 000 $

Archambault, fière ambassadrice de la culture québécoise, a le plaisir d’annoncer que le lauréat de la 13eédition de son Grand Prix littéraire est décerné à David Clerson pour son roman Frères, publié aux Éditions Héliotrope. Signalons que l’auteur s’est vu remettre par la même occasion une bourse de 20 000 $ pour ce premier ouvrage, un roman d’aventures qui entraîne le lecteur dans des paysages marécageux d’où émerge, même au cœur de l’apocalypse, l’envie du bonheur et de l’enfance ancrée au fond des corps.

 

 Parce qu’il s’adresse aux auteurs de la relève, le Grand Prix littéraire Archambault représente pour nous tous un espoir de perpétuer les traits et la spécificité de notre littérature québécoise. C’est aussi une occasion qui permet de réaffirmer, année après année, la place essentielle de la culture au sein de notre société en jetant l’éclairage sur l’apport inestimable des écrivains , estime Emmanuel Bilodeau, porte-parole de cette 13e édition.  Ce prix d’une grande valeur permet aux auteurs émergents de poursuivre plus aisément leur carrière en écriture , a-t-il conclu.

David Clerson pour Frères

Le premier roman de David Clerson raconte l’histoire de deux frères qui ont pour terrain de jeu les marais côtiers et pour jouets les os d’animaux charriés par les vagues. Un jour, ils prendront le large pour retrouver leur chien de père, homme de passage venu de la mer et vite reparti. Une odyssée fraternelle débutera alors, amenant l’aîné à perdre son humanité et à découvrir le goût du sang.

Des finalistes toujours plus talentueux

Cette année, 10auteurs de la relève québécoise étaient en lice pour l’obtention du Grand Prix littéraire Archambault. Un jury composé de personnes reconnues dans le milieu littéraire et de spécialistes en littérature s’est acquitté de cette tâche complexe, celle de désigner le lauréat, un choix difficile en raison de la grande qualité des œuvres reçues. Les finalistes étaient Philippe Arseneault pour Zora - un conte cruel, Guillaume Berwald pour Edmonton, Jonathan Brassard  pour Les chaines du Léviathan, Louis Carmain pourGuano, Nicolas Delisle-L’Heureux  pour Les Pavés dans la mare, Marie Larocque pour Jeanne chez les autres, Marie-Anne Legault pour Le Museum, Marie-Christine Lemieux-Couture pour Toutes mes solitudes et Françoise Major pour Dans le noir jamais noir.

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