Québecor célèbre la 45e édition du Festival du nouveau cinéma

Québecor est fière de présenter, pour la 8e année consécutive, le Festival du nouveau cinéma (FNC). Du 5 au 16 octobre, les cinéphiles de tout horizon confondu sont invités à se rassembler afin de partager leur passion commune pour le cinéma. C’est cette même affection pour le 7e art qui amène Québecor à appuyer cet évènement d’envergure en offrant une contribution financière ainsi qu’une vaste campagne promotionnelle sur l’ensemble de ses plateformes médiatiques. Aussi, Éléphant : mémoire du cinéma québécois est fier de participer à cette année anniversaire en présentant gratuitement au public quatre longs métrages en version restaurée qui rendront hommage à deux grands réalisateurs québécois.

Soutenir et faire rayonner le talent cinématographique québécois, voilà notre mission et la raison pour laquelle nous appuyons un organisme aussi important que le FNC. À l’image du cinéma québécois, ce festival réussit à la fois à nous émouvoir et à nous émerveiller. Pour toutes ces raisons, je salue les organisateurs et je leur souhaite un bon événement !

Pierre Dion président et chef de la direction de Québecor

Québecor est honorée de présenter le prestigieux prix la Louve d’Or qui récompensera le meilleur film de la Compétition internationale. Décernée par un jury de professionnels, la bourse Québecor vise à soutenir la démarche cinématographique du réalisateur récipiendaire. D’autres filiales de l’entreprise sont également heureuses de soutenir l’événement, notamment MAtv, qui présentera le Prix Créativité dans la section Court-Métrage Focus. TVA Films, quant à elle, projettera le film A quiet passion.

Projections Éléphant

Éléphant est fier d’honorer la mémoire du cinéaste, auteur et acteur André Melançon en présentant Fierro... l’été des secrets (1989). Coproduction Canada-Argentine, ce film magnifique raconte l’histoire de trois enfants qui passent leur été avec leur grand-père sur un ranch où les chevaux sont toujours présents. Fierro emmène le spectateur dans la beauté sauvage des pampas argentines tout en restant près de ces trois enfants et des aventures qu’ils vivent avec le grand-père.

Le film sera projeté au Pavillon Judith-Jasmin annexe (salle Jean-Claude Lauzon) le dimanche 16 octobre à 17 h.

 

Le deuxième hommage sera rendu à Jean-Pierre Lefebvre avec la projection de la trilogie d’Abel (interprété par Marcel Sabourin) qui constitue une partie essentielle de la filmographie imposante de ce réalisateur toujours resté hors des sillons conventionnels du cinéma.

 

Tout d’abord, Il ne faut pas mourir pour ça (1967) pose un regard sensible sur un homme qui se trouve au tournant de sa vie, marqué par la mort et la désillusion. La condition de ce personnage et ses inquiétudes sont liées à la situation complexe de son pays, le Canada, et il aimerait transformer le cours des choses.

Le film sera projeté le vendredi 14 octobre à 19 h à la Cinémathèque québécoise.

 

Par la suite, Le vieux pays où Rimbaud est mort (1977), est un des films les plus accessibles de Jean-Pierre Lefebvre. Le Québécois Abel se rend au pays de ses ancêtres où il découvre deux France, celle des clichés et celle des rencontres humaines.

La projection aura lieu à la Cinémathèque québécoise le samedi 15 octobre à 17 h.


Finalement, dans Aujourd’hui ou jamais (1998), Abel, aviateur passionné dans la cinquantaine, n'a plus volé depuis la mort de son co-pilote et meilleur ami. Quinze ans plus tard, il reprendra les commandes... mais !

C’est un rendez-vous le dimanche 16 octobre à 19 h au Pavillon Judith-Jasmin annexe (salle Jean-Claude Lauzon).

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